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Actualité de l'auteur et de sa collection aux éditions Dualpha, ayant vocation à exhumer des textes toujours d'actualité. Thèmes abordés : Magie,illusionnisme, prestidigitation, ésotérisme. Pour tous contacts avec la rédaction de ce blog, pour poser vos questions, et pour être averti de nos nouvelles mises en ligne : refletsdupasse@gmail.com Attention tous les textes mis en ligne sur ce blog sont soumis au Droit d'Auteur.

dimanche 27 avril 2014

DICKMANN et LE RIRE PARISIEN.

ARIS et Miss FAKARA, Professeur (1930).



Artistes français (ou grecs ?), illusionnistes.
Notice publiée in Troisième Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes, éditions Dualpha, © Richard Raczynski, augmentée pour le blog.
Duo de mentalistes français probablement issu du monde du Cirque. La « femme radio Fakara » s’étant autrefois illustrée comme « femme à barbe » dans diverses attractions de foires. Ensemble ils interprètent le programme énigmatique : « Troublant mystère », toujours rattachés aux spectacles itinérants.
La première apparition du couple (La Femme Radio) dans la capitale est signalée en 1930, dans La semaine à Paris du 18 avril (p. 48) au Cirque d’Hiver dans des spectacles organisés par les Fratellini où ils partagent l’affiche avec Les Willys (cyclistes comiques), La cavalerie de Albert Carré, les clowns Little Walter et Chocolat, les jongleurs équilibristes japonais Masu et Ury, les 4 Factory Sisters, les Haring’s, les comiques franco-anglais Franck Pichel Trio, les Revels.
Leur carrière est internationale, se produisant en Allemagne puis en Espagne (à Bilbao sur la Plaza de Toros, le 10 septembre 1930), où Aris défraie la chronique en conduisant une voiture, les yeux recouverts d’un bandeau.
Ils seront à l’affiche du théâtre municipal de San Sebastian puis de Madrid, le mardi 5 septembre 1930, dans un numéro de seconde vue : « La voz de la tumba ».
Ils partageront la vedette de la séquence magique du cirque Price aux côtés de Ryss (Georges Gay, 1880-1932) et de Nadi-Aly (in ABC, 25 janvier 1930).
En 1930, ils triomphent lors d’une tournée en Algérie comme le relate le bulletin Les Spectacles d’Alger : « Alhambra : continuation du vif succès de curiosité qu’à soulevé dans notre ville Miss Fakara surnommée la femme radio , qui est un titre curieux, par les phénomènes qu’elle produit à volonté ; ce n’est pas une voyante dit son présentateur, le professeur Aris, c’est grâce à un dispositif spécial que mon sujet devine toutes les questions qui lui sont posées », concluant : « C’est la plus nouvelle et sensationnelle attraction mondiale ».
Les Annales Africaines du 15 juin 1930 (p. 190) s’interrogent sur cette femme énigmatique
(in Impressions de Quinzaine, ou la Chronique interrompue) :
« - Avez-vous été voir, Monsieur, Miss Fakara ?
Mon ami le vieux monsieur n’est pas autrement surpris.
- Oui c’est admirable..
- N’est-ce pas ?
- C’est admirable de constater l’engouement des hommes pour ce que j’appellerai le merveilleux. Il faut à ces grands enfants une baguette magique et des contes de fées.
-Avouez qu’elle est étonnante; Elle devine ce qu’on veut. Elle lit comme à livre ouvert dans les plus secrets portefeuilles
-Et l’on aurait mis sa chaussette à l’envers qu'elle ne manquerait pas de le dévoiler au public, n’est-ce pas ?
-Justement. Une dame l’autre soir est devenue toute rouge, pour s’être laissée dire, qu’elle avait un trou à son bas.
- Incroyable ! Mais la véritable énigme n’est pas là, et ce que je ne m'explique pas du tout, c’est pourquoi étant grecque, Cette jeune Fakara se fait appeler : Miss ? ».
En 1933, le journal de Tlemecen (Oran, 28 mars) relate à nouveau leur programme :
« Sur la pressante invitation de personnalités de Tlemcen, le vendredi 31 mars à 21 heures, pour une seule fois, Miss Fakara dans une série d’expériences psychiques sensationnelles : le crime, la radio vision détective, la prémonition, etc, ainsi que le triomphe dans le domaine psychique : La voix du tombeau ».
« Voici l’explication de cette expérience : Miss Fakara est enterrée vivante dans un cercueil et déposée dans une grande caisse. Un micro est placés dans, le cercueil et relié à de puissants hauts parleurs, dans sa tombe, Miss Fakara perçoit tout ce qui se passe à l'extérieur de son tombeau et le relate devant le micro. De sa prison hermétique,elle lit même les pensées des spectateurs. Enfin ceux qui l’ont vu, doivent bien admettre que, malgré les progrès de la science, il existe encore des régions mystérieuses de la psychologie où peu de savants ont pénétré ou même pas du tout. Il est prudent de réserver sa soirée ».
Signalons que Aris se présente sur scène comme un professeur (grec) de psychologie.
En 1935, le quotidien Le Matin précise :
« Pour la réouverture, qui aura lieu samedi, en soirée, les quatre frères Bouglione ont engagé pour une série de numéros de choix, le professeur Aris (l’homme qui fait parler les morts) et son médium Fakara ».
Sur la mnémotechnie et ses truquages inhérents, se rapporter sensiblement sur la même période à : « Mnémotechnie au Music Hall » du magicien Marcel Vassal dit Sarrasin, préfacé par Harry Bertall (président du club des magiciens bibliophiles, auteur de la biographie de la prestidigitation française, voir notices in Tome I) aux éditions Marseille Magie, publié en 1938. Suivi de « La transmission de pensée au Music Hall », préfacé par le Dr Kuartz (président du club des magiciens de Genève), Éditions Marseille magie, 1939.

vendredi 25 avril 2014

Georges Lamothe (1837-1894).

Ce compositeur Français (pianiste et organiste, notamment de la reine d’Espagne) fut célèbre outre-Atlantique pour ses valses (il signera mille compositions) dont « Blue Alsatian Moutains », et « Fleurs d’hiver », dans un style proche de Strauss.
Dans l’Art musical (1887) Alphonse Leduc écrit : « Nous sommes heureux d'apprendre que le pianiste compositeur Georges Lamothe qui s'était cassé le bras il y a trois mois en revenant d'une tournée en Algérie est complètement rétabli » .
Il signe « La Malle des Indes », « un galop brillant pour piano à quatre mains », dédicacée à « mes Amis Robert-Houdin (Emile, le fils 1831-1883) et Brunnet » (Pierre-Edouard Brunnet 1824-1882) (3 éditions entre 1870 et 1874), chez Paris, Enoch père et Fils éditeur 27, Boulevard des Italiens.
Ce titre reprend l’effet de Charles de Vere (Herbert-Shakespeare-Gardiner-William-Charles, dit De Vere 1843- 1931), présentée dans le théâtre en 1874.
Lamothe fut membre en 1864, de l’association parisienne « Les Pierrots », une réunion d’artistes organisée par Montrouge, aux côtés de Silvain, Coquelin cadet, Darcier, Sellier, Michot, les frères Lionnet, Georges Lamothe, Maton, Berthelier, Fusier, Belhomme, Lacombe, Galipaux, Bruet (in Paulus, trente ans de café-concert).
Il sera l’un des pianistes du théâtre Robert-Houdin.
Cité par Louis Lemercier de Neuville (1830-1918) in Souvenir d’un montreur de marionnettes », 1911 : « En juillet, je donnai quinze représentations au théâtre Robert-Houdin (…) Les airs intercalés dans mes piécettes étaient en général empruntés à la clef du caveau, aux vaudevilles et aux opérettes à la mode, mais plusieurs compositeurs ne dédaignèrent pas d'en noter exprès pour les Pupazzi. D'autres me firent des valses des ouvertures, des polkas, des airs variés ; parmi ceux-ci, je citerai Olivier Métra, Georges Lamothe, Albert Renaud, Emile Pessard, Domerguede la Chaussée, etc. ».
On le retrouve associé aux artistes du Théâtre Robert-Houdin dans le cadre d’une soirée de charité organisée au Théâtre de Cannes, en soutien aux « inondés du Midi », les 14 et 15 janvier 1887 (in Le littoral Illustré).
Il fut inhumé au cimetière du Père-Lachaise.
Sur le dessin de la partition :
Il est généralement attribué (par erreur)au dessinateur H. Antoine Barbizet (référencé in l’Almanach de la Littérature du Théâtre et des Beaux-arts, 1866).
Les éléments biographiques se révélant assez minces, la plupart des notices pointent des interrogations sur sa naissance et son décès.
Pourtant on en retrouve mention :
Né en 1820, mort en 1865 à Paris : « (…) Charmant et original, à qui la musique doit une foule de dessins et de lithographies polychromes. Avant lui, c'était un dessin lourd, massif, sans grâce, mal conçu, mal exécuté (…) Il créa la lettre ornée, contournée, bizarre, décrivant des arabesques fantasques, il entremêla les paysages légers, à peine estampés dans le fond, puis enfin les personnages ».
(In Le Guide Musical: Revue Internationale de la Musique, 1867).
La Malle des Indes apparaît donc neuf années après sa disparition, on peut logiquement imaginer que cette composition est un montage « à la façon » de Barbizet.
La réponse se trouve dans les lignes qui lui sont consacrées par Jean Laran, (in Inventaire du fonds français après 1800, Bibliothèque nationale (France). Cabinet des estampes, ‎1930) :
« Dessinateur lithographe, qui a battu de loin le record de la lettre ornée pour les éditeurs de musique. Quelques planches du même atelier sont signées : J. Barbizet ».
Citons : Romance : pour flûte et orchestre ou piano : op. 33 / par Emile Bernard , F. Mackar (Paris) , 1885.
Un dessinateur J.Barbizet décèdera à Lyon en 1910 (in Bulletin municipal – Lyon).
Probablement son fils.
Bibliographie :
Luc Rudolph, La valse dans tous ses états : Petite histoire de la valse, 2011.
John Michael Cooper, Historical Dictionary of Romantic Music, 2013.
Les différents intervenant du Théâtre Robert-Houdin 1845 1920 1941, D’après les recherches de Didier Moreau « Morax », Christian Fechner, Christine Treiber « Akyna », conférence du 25 mars 2013, à la Maison de la F.F.A.P. 257, rue Saint Martin, 75003, Paris.

lundi 21 avril 2014

PARIS, CAPITALE de l’ART MAGIQUE, Richard Raczynski.



Nous sommes heureux de vous annoncer la sortie prochaine (au mois de mai) du nouvel ouvrage de Richard Raczynski : « Paris, Capitale de l’Art Magique », un travail historique (de 544 pages) proposé par les éditions Dualpha.
Notons dans le cahier central, 42 illustrations (signées par l’auteur) inspirées de l’iconographie populaire.

Texte de présentation de l’auteur :
Après l’immersion dans « le Paris de l’Illusionnisme » proposé dans cet ouvrage, votre regard sur la capitale va changer !
Quelques 365 adresses, réparties à travers les vingt arrondissements parisiens visitent des lieux (théâtres, baraques, foires, cabarets, music-halls, hôtels, cirques, cinémas) souvent inédits, pour la plupart disparus, dévoilant l’activité, l’inventivité mais aussi la rivalité et les difficultés financières inhérentes aux protagonistes du divertissement populaire.
Sans oublier les grandes (et quelquefois minuscules) Salles, qui semblent avoir traversé le temps, en conservant encore un espace dévolu à l’Art magique dans leurs programmes.
Des attractions qui semblent indélébiles dans le souvenir des spectateurs comme s’en émerveillent nombre d’auteurs : George Sand, Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Honoré de Balzac, Émile Zola, Louis-Ferdinand Céline.
Si ce recueil décrit les scènes où se sont illustrés les grands noms de la magie (Méliès, Robert-Houdin, Houdini, Hermann, The Great Lafayette, Buatier de Kolta) englobant les brillants escamoteurs de foires, « experts en tour de gibecière », les ingénieux physicos, et les distingués prestidigitateurs de salons, il s’attarde aussi sur des acteurs moins connus de cette même famille.
Ici le réel et l’imaginaire viennent se confondre, incarnés par des personnalités au destin romanesque qui se côtoient dans un inventaire digne de Prévert : Miette Père, incarnant le Pont Neuf et ses bonimenteurs attitrés, son fils, ceux de la rue Dauphine.
Tabarin et son chapeau d’alchimiste, Delille et son omelette (dans le chapeau !).
Le buveur d’eau de la Foire Saint-Germain, Philippes Jouilliani, Scotto, dit Le Grand Scot romain. Olivier « Le plus adroit escamoteur de Paris, où se trouvent les escamoteurs les plus adroits du monde ». Le forain Anatole Tolstoï promenant son spleen des lointaines steppes slaves jusqu’à son stand misérable des Gobelins. L’homme à la poupée devenu fou, errant le long du Quai de Valmy. Le ventriloque du Café des Aveugles et son improbable collègue Borel. La « petite banque » d’un Valentin et la « haute banque » se transmettant de père en fils dans la dynastie C o r v i . Les baraques du Jardin des Tuileries de Pietro Gallici et Loramus. Marco, la figure des terrasses des cafés, le spécialiste des séances à la postiche, dit « l’homme au fez ». L’ambitieux Lacaze et son très jeune caissier, le futur Allan Kardec. Pierre Moreau, manipulateur inégalable, « maître de la rue » selon ses contemporains. Charles Rabiqueau et son spectacle mécanique de la Perdrix rouge. L’inattendu duo magique et comique composé de Cazeneuve et de l’empereur Napoléon III. L’énigmatique comte de Cagliostro et ses déroutantes rencontres parisiennes. Hermann Kurtz, « le Mahatma blanc ». La mort en direct de Blumenfeld à la Cigogne. Mataïs l’acharné à mourir. Le duel aux accents dadaïstes, opposant sur le Champ-de-Mars, Jean Chalon et Fondard de Joannique. Macaura et ses curieuses vibrations atmosphériques.
Le forain Marketti (Edouard-Jean March) s’incarnant en pourfendeur syndicaliste des concurrents déloyaux. Charles Fossez, le fakir Birman confiant sans retenue : « Du temps où j’étais fakir, tous les matins en me levant j’ouvrais mes fenêtres, je respirais à pleins poumons, et, pendant toute la journée je revendais à petit dose ce que j’avais respiré : du vent ». Le Cabinet Fantastique du Musée Grévin, que Pierre Bost qualifie de « sorte de temple secret où, dans l’obscurité, quelques survivants d’une religion disparue perpétuent des rites aimables et inoffensifs ».
La star féminine Benita Anguinet, célèbre au Pré Catelan pour ses bras nus, ne pouvant « donc rien dissimuler »…
Et lorsque la fiction s’invite dans une notice, avec l’intrusion d’Antoine Morin, né sous la plume de Georges Simenon dans son roman Antoine et Julie, on touche presque à la normalité.
Mais l’illusion n’est-elle pas, comme le disait le grand Pierre Edernac : « un décalage du réel » ?
© Richard Raczynski, avril 2014.

vendredi 18 avril 2014

CAZENEUVE, Marius (1839-1913).


(Extrait tiré de l’ouvrage Un Tour du Monde de la Magie et des Illusionnistes), © Richard Raczynski :
Aventurier, inventeur, prestidigitateur français, né le 12 octobre 1839 et mort le 12 avril 1913 à Toulouse.
Élève de Jean Bosco (1815-1888), il obtient une reconnaissance internationale dès 1863, se produisant à l’étranger devant un parterre de nombreux monarques (Russie, Turquie, Italie, Espagne).
Il fonde en 1874 L’Institut du Progrès contre les superstitions et le charlatanisme, qui comptera parmi ses membres le Shah d’Iran (Nassiruddin Shah, 1831-1896) et Victor Hugo (1802-1885).
Vraisemblablement envoyé, en 1886, par Jérôme Bonaparte (1784-1860) à Madagascar pour assumer une mission diplomatique face aux velléités britanniques, il fait étalage de ses dons d’illusionniste et charme la reine Ranavalo (1861-1917).
Il continuera une carrière d’illusionniste international et finira sa vie dans sa maison toulousaine (monument historique situé au n° 4, de la Grande rue Saint-Michel).
Le magicien Roger Barbaud crée à Toulouse en 1931, le club Commandeur Cazeneuve.
Auteur de :
À la Cour de Madagascar, magie et diplomatie, Paris, Ch. Delagrave, 1896.
« ici se termine le récit des événements relatifs à Madagascar auxquels je me suis trouvé melé. si à cause de la manière dont je les ai présentés, on était tenté de croire inventés ou arrangés à plaisir, on se tromperait complètement.
il n y a pas un fait, pas un mot que je ne puisse appuyer de documents officiels , de pièces portant les signatures des personnes dont j’invoque le témoignage. Ce n'est pas un roman; c'est de l’histoire ».
Index:
Incendie à Tananarive;
Arrivée à Tamatave;
Séance chez M Buchard;
Séjour à Tamatave;
Départ de Tamatave;
Au camp de Souadiram;
De Tamatave à Andevourante;
Amboudichine;
L’arbre du voyageur;
La fleur électrique;
Hôtes incommodes;
L'oiseau bleu;
Tentative de révolte;
Le feu de la terre;
Sur le chemin de Tananarive;
En vue de Tananarive;
Antananarivo la belle;
Duel à l'Américaine;
Visite au président général;
Le premier ministre;
La soeur de la reine;
Invitation;
Réception à la cour;
Audience de la reine;
Le docteur Baissade;
Grande séance;
Première séance chez la reine;
Le mouchoir de la reine;
Les cartouches Remington;
Entr'acte;
Anti-spiritisme;
La dématérialisation;
Fin de la séance;
Première consultation;
Les présents du premier ministre;
Visites;
Mon ordonnance;
Seconde consultation;
Madagascar inconnu;
Un peu d'histoire;
Le traité kingdon;
Entretien diplomatique;
Seconde séance au Palais;
La force enlevée;
God save the Queen;
Prestidigitation;
Exercice de mnémotechnie;
Exercices de calcul et de mnémotechnie;
Magie noire;
Le ministre des affaires étrangeres;
La séance chez les frères;
Le zoma;
Les chagrins de la reine;
Correspondances;
Séances privées;
La reine prestidigitateur;
Nouvelle expérience de suggestion;
Expédition nocturne;
A la campagne;
L’astronomie populaire;
Le grand cordon de la légion d’honneur;
Conseils à la reine;
Ce que c’est qu’un million;
La corvée;
Radama;
Le Fattidrah;
Le Fandroana;
Le bain de la reine;
Le feu d’artifice;
Le nouveau fattidrah;
Les amis de la reine;
Projet de voyage en France;
Préparatifs de départ;
Dernière entrevue;
Le retour;
L’enfant et le caïman;
La mission diplomatique;
Le retour;
Calomnies.
Bibliographie :
In L’Escamoteur, sous la direction de Robelly, années 1947 à 1951, pp. 1360, 1382, 1413, 1490, 1710.
Pierre Salies, Un Toulousain de Toulouse, le Commandeur Marius Cazeneuve, plaquette Exposition M. Cazeneuve, Musée du vieux Toulouse, 1960.
Pierre Salies, Le Commandeur Marius Cazeneuve, Milan, 1983.
Hubert Delobette, Aventuriers extraordinaires du Sud, Le Papillon Rouge, 2009.

jeudi 10 avril 2014

mercredi 2 avril 2014

VENTE GERARD MAJAX


Exceptionnelle vente de la collection du prestidigitateur français Gérard Majax, le Dimanche 06 avril à 10h30, à l'Hôtel Salomon de Rothschild (11 Rue Berryer, 75008 Paris):
Grand Salon- Cornette de Saint Cyr
LIEN :
http://www.cornettedesaintcyr.fr/html/index.jsp?id=19225&lng=fr&npp=10000
(catalogue en ligne au format pdf).

Au programme :
MAGIE NOIRE & OCCULTISME :
Livres contemporains
Sorcellerie, démonologie, sociétés secrètes, phénomènes inexpliqués, voyance, extra-sensoriel, superstitions, fantômes, hypnose,
Livres anciens:
Les démons, la divination dans l’Antiquité, l’art des thaumaturges dans l’histoire, spiritisme et tables tournantes,
fakirs, sorcellerie des campagnes, magie et médecine, l’occultisme et la science, l’énergie de la main, la science de l’âme, la radiésthésie, etc.
MNÉMOTECHNIE & TÉLÉPATHIE :
L’art d’apprendre et de se souvenir, la transmission de pensée au music-hall, etc.
DÉMYSTIFICATION :
Savants et charlatans, mystères de la science, spirites et illusionnistes, médiums, fakirs, etc
TRICHERIES AUX CARTES :
L’art de gagner aux cartes, au pays des pigeons, tricheurs internationaux, etc
PHYSIQUE AMUSANTE : Livres Rares Récréations mathématiques et physiques de 1750 à 1792, testament de Jérôme Sharp, etc
PHYSIQUE AMUSANTE : PrestidigitationOUVRAGES DE ROBERT-HOUDIN Confidences et révélations, les tricheries des grecs dévoilés, etc `
RÉCRÉATIONS PHYSIQUES
ILLUSIONNISME
CARTOMAGIE
OPTIQUE
ROMANS MAGIQUES
PARIS ET LA MAGIE :
Histoire secrète de Paris, l’occultisme à Paris, les nuits secrètes de Paris, etc
REVUES MAGIQUES ANCIENNES
AUTOMATES POUR LES ENFANTS
Livres anciens
Livres contemporains
GRAVURES REPRODUCTIONS -
CHROMOS VIGNETTES PUBLICITAIRES
MAGAZINES CONTEMPORAINS
MAGAZINES POUR ENFANTS
NOTES DE CONFÉRENCES
CARTES POSTALES
PHILATÉLIE
PROGRAMMES & CALENDRIERS
COFFRETS DE MAGIE AnciensContemporains
APPAREILS ANCIENS En métal blanc En métal cuivré En bois
APPAREILS CONTEMPORAINS
BAGUETTES MAGIQUES
ASSIETTES DÉCORÉES
OPTIQUE Appareils anciens Objets contemporains
AUTOMATES ANCIENS
BATTERY TOYS
OBJETS DE DÉCORATION
TIRELIRES
PIN’S
JEUX DE CARTES
DISQUES VINYL & CASSETTES
VHS
MÉMORABILIA
LIVRES DE GÉRARD MAJAX
COFFRETS DE GÉRARD MAJAX
AFFICHES PERSONNELLES
AFFICHES DIVERSES
TABLEAUX & LITHOS
DESSINS ORIGINAUX
AFFICHES ANCIENNES